30 janvier 2007
Du noir au blanc ....
Je souffle sur l’écume… cette journée est morte. Encore une, encore une que le néant emporte. Je souffle sur l’écume de ces heures sans toi. Et sèchent sous ma plume mes larmes et mes joies. Je vis, tu sais, je vis. Et je souris. Parfois. Et j’éclate...