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Les Ecrits Pourpres

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12 janvier 2014

Pensées de l'An neuf

nouvel_an_venise_2014

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3 juillet 2013

s. D. ...comme sine data

NBModif11[1]

Entre votre image vibrante et ces vides si plein de vous, ....
la parole ...étranglée ! Etranglée par mes soins ... par mon corps ayant soufflé votre nom. Etranglée par ces fantômes de mots, trop souvent empêchés, trop souvent pêchés, vidés de leur essence, comme des poissons d'élevage tirés de la nasse pour des usages trop prosaïques.

Demeure la joie, demeurent les souvenirs,... la joie du souvenir

.... Souvenirs de fièvre de mots, d'une caresse de plume, d’un regard imaginé, de vertiges et d'écumes embrasées, désert fleuri de quelques éclaircies du quotidien pour remonter l'histoire, entrer en sa vibration profonde, charnelle, rebondir à votre peau et... tracer des pistes pour une lecture infinie, palimpseste.

 Ecrire n'est pas mettre de l'ordre, mais accepter un désordre émotionnel. Ecrire...

Entrer dans le silence qui hurle, à cette  croisée impossible des chemins entre terre et ciel, physique et métaphysique... entre l'hier et l'aujourd'hui.

Faille et présence, trou du silence que l'écriture ne comble pas : tout y est, rien n'y est. C'est un océan insondable.

Quelque chose dépasse pourtant, comme un frêle esquif au bord du langage. Ce qui nous accroche, nous marque inconditionnellement et nous unit.

Rien d'autre " pour tout dire " sinon ce mouvement - l'axe violent d'un vide... et l'appel des hauteurs. Cet espace mouvant, émouvant

Où s’emplir.

...Reste ...Ce chant, un morceau de musique, l'espoir d'une main, tirant à elle les rudiments de soie d'une peau, caligraphiant des promesses.. Traces à l'extrême, comme un souffle - ou l'extrême du soupir.

Reste l'attente devant la citadelle impénétrable du jour qui vient. Reste une silhouette affolée d'espérance. Reste l’émotion. Neuve. Toujours.

Alors je peux rêver .... de re-naître encore, de me confondre dans l'écriture, d'y fondre, d'y disparaître

Et de vous y retrouver.

chute infinie

Exigence de retour

Errance

Suspendue

Se surprendre à espérer, à craindre - à la limite des ces deux mots.

 ... Je pense

 

A vous

 

7 juin 2013

Putain de Poteau.

J'étais bien dans mon cocon, calme apaisé, heureux de ne rien faire, heureux de ne participer en rien à rien. Oui vraiment je vous le dis comme j'étais donc bien installé dans mon fauteuil. Je m'adonnais à mes passions hédonistes, je lisais des livres difficiles à la complexité linguistique alambiquée. Je me régalais de lectures plus simples, me laissant aller au plaisir voluptueux des mangas, hentais, et autres réjouissances. Oui j ?étais ma foi tellement bien retiré des conflits, des affrontements, des discutions stériles, réduisant le nombre de mes contacts au strict minimum.

Ni politique, ni société ne venant me déranger dans cet isolationnisme intellectuel, je folâtrais dans un monde idéal, mon univers, règne d’une pensée unique et despotique, la mienne. Sans compte à rendre et sans avis à prendre. J’en évitais soigneusement la lecture des journaux, les revues de presse, les informations télévisées, que ce monde fasse ce qu’il veut, mon univers bien clôt me suffisait.

Il a bien fallut que du bruit ils en fassent ces agités de la timbale sous mes fenêtres pour attirer mon attention. Il a vraiment fallut qu’ils soient bruyants les adeptes du goupillon pour venir me sortir de ma neutrale position d’indifférent et me faire pencher sur le monde pour voir ce qui lui arrivait.

1904-FranceMariageGay

Je crus dans un premier temps avoir remonté le temps, voici que défilait toute une horde hurlante et Bramante populace aux invectives d’un autre âge. Je les ai regardés passer ces primaires et leur cohorte d’enfants aux joues roses. Que vouliez vous que je dise ? Que peut on raisonner avec quelqu’un qui ne veut rien pour lui mais simplement qu’on retire quelque chose à quelqu’un d’autre ? Si encore ils demandaient pour eux, mais non, ils veulent juste interdire aux autres d’avoir ce qu’eux possèdent, le droit de s’aimer et de s’unir. On ne raisonne pas avec un fanatique religieux, on ne peut présenter un argument viable à une personne qui hait l’autre, sa différence, ces choix de vie.

En même temps il faut bien comprendre que pour ces gens la, l’union d’un homme et d’une femme est un devoir devant dieu et non pas un acte d’amour et de don. Enfin je décidais de me retirer de ce débat au plus vite et comptant le nombre de manifestant je ne me faisais aucuns soucis particuliers. Parce que rassembler 200 000 personnes pour une manifestation c’est très bien, mais pour la réforme de la retraite on était quelques millions et cela n’a rien changé. Donc je ne doutais pas le moins du monde que la loi passerait avec ou sans mon soutien et je m’en retournais tranquillement à mes sages considérations laissant à d’autres la joie d’arpenter le pavé pour défendre l’égalité et le simple bon sens me promettant d’aller lever un coupette le jour du premier mariage gay célébré dans le coin, et d’en profiter pour m’incruster dans le cocktail.

anti-homophobie

 

Mais voila, aujourd’hui porté par le vent de ce soulèvement populiste la dernière fange, la plus extrême médiocrité, le bourbier de notre inconscient, a relâché ces plus viles fantasmagories. Relâché du fond des égouts de l’humanité ils sont sortis les infâmes au crane rasé, bottés d’acier, tatoués comme des barbares d’un autre temps. Ces tueurs à la petite semaine qui ne rêvent que de rosser tout ce qui est différent d’eux. Ils sont sortis de leur silence et on trouvé dans le fumier de vos idées madame barjot, madame Boutin, le terreau fertile ou pousser vers la lumière.

Oui mesdames, car votre comportement, vos mots, votre conception étriquées de l’existence, votre morbide haine de ce qui ne vous ressemble pas ont permis à ce que ce pays à de pire de se révéler dans toute son horrible splendeur. Mais rassurez vous, vous n’êtes pas seule coupable, derrière vous on pourrait encore nommer bon nombre d’élus qui par leur discourt, leurs attitudes ont permis de mener aujourd’hui à la mort d’un homme. Vous avez voulu profiter de cette vague populiste pour vous hisser au sommet, voir votre nom apparaitre en grand dans les quotidiens se faire ressasser par une presse en manque de sensationnalisme. Alors messieurs et mesdames les politiques vous avez réussies a vous surpasser, phrases assassines, idées toutes faites, rien n’était trop bon pour caresser vos électeurs les plus à droite dans le sens du poil. Que vous ayez eu raison ou tort n’est pas la question, d’ailleurs vous aviez tort, mais vous le saviez. Avoir tort ou raison n’était en aucun cas votre priorité dans cette affaire. Ce que vous vouliez avant tout c’était grapiller un peu de temps d’antenne. Alors oui madame Koscui Moricet, vous n’êtes pas la bienvenue à l’endroit ou votre comportement, vos mots ont permis à une frange de la population de se sentir assez soutenu pour se laisser aller à ces plus vils comportements.

Mais encore plus révélateur c’est ce que toute cette affaire montre des français en général, c’est un bain révélateur ou l’homophobie, la xénophobie latente dans le peuple français à été mis à jour. Car les Français sont et restent cela, car c’est ce qu’on entend au quotidiens, blagues sur les tafioles, les arabes, les nègres. Discours à peine condescendants, humour qui se veut gaulois, et n’est que tourbe ou grouillent les vers d’une haine latente. Même parmi ceux qui se veulent progressistes reviennent des discours nauséeux qui laissent un gout amer, ce n’est plus la raison qui parle mais un inconscient culturel remplit d’images d’Epinal sur celui-ci ou celle la.

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Plus sordide encore cet élu local de mes connaissances qui ne veut célébrer le mariage entre deux hommes, mais ne voit pas d’opposition à une union entre deux femmes. Sordide pensée nourrie d’images de films pornographiques, et de fantasmes jamais réalisés. Il y a aussi celui-ci qui dit qu’il faudrait mettre tout les PD dans un camp, alors que son propre fils homosexuel à tenté à plusieurs reprises de lui avouer sa différence. Voici le principal responsable de la mort de ce jeune militant de gauche. Cela hors de toute considération de responsabilité, de comportement, a-t-il provoqué ou non le skinhead n’est pas la question. La seule chose qui est importante c’est que notre pays à permis l’émergence de quelqu’un qui s’est crut autorisé à donner cette mort parce qu’il se croyait dans le vrai, dans son bon droit. Et de cela nous en sommes tous en partis responsables. Moi pour mon inaction, pensant que j’en avais déjà assez fait, on n’en fait jamais assez, et toute la mentalité de fond, cette tourbe idéologique passéiste et méprisable qui fait le socle de la société française.

Alors je n’ai pas honte d’être français en ce jour, je considère la France comme un concept, comme ma France, celle des droits de l’homme, du progrès social, de la marche vers l’avant, celle de la quête du bonheur universel, de la fraternité. Non je n’ai pas honte d’être français, mais j’ai honte DES français aujourd’hui. Car ceux qui se drapent dans les mots amour de la patrie, n'ont d'autres motivations que la haine de la différence.

Je dédie ces quelques mots à Clément Meric, mort stupidement à l'aube de son existence d'adulte pour avoir voulu être le défenseur d'un monde plus humain et avoir rencontré ce qu'il y a de plus inhumain dans notre société.

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7 septembre 2012

Les Galas de Danse, la foire aux prostiputes.

prostipute

 

Bon la plupart d'entre nous ont des enfants, dans le lot il doit bien y en avoir qui ont des filles. Mentez pas, je vous ai vu. Dans ce lot la, il doit bien y en avoir dont les filles expriment le désir un jour de participer à une activité du genre *j'aimerai tellement devenir danseuse*...... Allez, sortez pas, vous n'êtes pas seuls.

Dans ce petit groupe la, il doit bien y avoir des provinciaux, si si,, je le sais, j'en connais. Donc partant d'une bonne intention, et désireux de ne pas voir le fruit de votre semence un jour vous reprocher sa vie lamentable par

 

"Si tu m'avais inscrit à des cours de danse je ne serais pas videuse de volaille à l'abatoir."

Ce à quoi vous ne répondrez pas parce que vous essayez d'être de bons parents

"Tu ne serais sûrement pas videuse de poulet si tu avais passé moins de temps à faire ta duckface devant ta webcam, volaille qui se cherche, se trouve, fille d'abruti"

Donc pour vous éviter la scène pénible des reproches qui viendront de toute façon d'une façon ou d'une autre (cochez la case qui vous correspond)

  • Si tu m'avais laissé porter des mini jupes à 10 ans
  • Si tu m'avais inscrit à un club de judo
  • Si tu m'avais payé des cours de piano
  • Si tu m'avais acheté un chien
  • Si tu n'avais pas couché avec mes meilleures copines
  • Si tu n'avais pas enterré maman sous la terrasse.
  • Si tu m'avais soutenu au lieu de laisser ta pouf twitter

Vider un poulet _t


Donc pour éviter au moins ce reproche la, vous vous mettez en quête d'une association, école, permettant à la chair de votre chair de pratiquer une activité physique qui présente un certain nombre d'avantage tout de même. On y apprend son corps, la souplesse, l'effort, tout ces trucs, une école de vie, il n'y a qu'a regarder Black Swann après tout. Donc d'un pas alerte vous allez en quête d'un endroit qui transformera la larve embryonnaire qu'est votre enfant en danseuse psychotique sexuellement frustrée adepte d'automutilation (dixit Black Swann). 

Abandonnez l'idée de l'inscrire à une école enseignant le ballet classique ou alors déménagez en ville, et encore choisissez une vrai ville. Sinon vous allez devoir vous rabattre sur l'association de danse des écureuils galopants de Saint Martin de Peleve-le-tondu. Bon gré, malgré vous y allez donc et à l'heure dite vous présentez votre enfant à la "prof de danse" pour qu'elle puisse la classer dans un des trois groupes suivant, Très mauvais, mauvais, mauvais mais avec des nichons. C'est que Stéphanie (c'est la prof de danse, les femmes qui animent ce genre d'activité s'apellent toujours Stéphanie ou Valérie, celle ci c'est Stéphanie on va dire). Donc, c'est que Stéphanie la prof de danse elle rigole pas, chez elle c'est du sérieux, elle vous fait marcher votre fille, la fait courir, se dresser sur ces pattes, faire la belle, vérifie la dentition, les fers, avant de la cataloguer.

 

jogging-fashion-vert-avec-capuche-1 Ca c'est votre fantasme de jogging Vert.

 

 

 

 

 

crochet-en-jogging-vert-photo--894dc4T650

 

 

 

Ca c'est la réalité.. Arretez de rever

 

 

Parce que même si la dite Stéphanie n'a jamais fait d'école de danse, elle a vu dix fois le DVD de dirty dancing, elle a suivit une formation en centre aéré voire pire elle est prof de sport. Engoncée dans son jogging vert pomme elle attribue donc sa place à votre enfant et vous demande si vous avez déjà acheté des chaussures pour les claquettes.

La vous regardez la prof avec ce petit sourire narquois qui dans la bonne société serait le signe évident que vous appréciez l'humour nonsense de votre interlocuteur. Mais la vous êtes dans la salle municipale de Saint Martin de Peleve-Le-Tondu et votre sourire vous fait passer pour un benêt. C'est la que vous apprenez que non seulement votre enfant sera initiée aux joies de la danse mais aussi plus spécifiquement aux claquettes. Dans votre esprit rapide et efficace vous vous demandez déjà combien de coups de pelles il faudra pour rajouter un trous sous votre terrasse. Vous jetez ce regard noir à la génitrice de vos enfants qui vous fait bien comprendre qu'il n'y a guère le choix, de toute façon vu que c'est pas vous père indigne qui allez les conduire au cours de danse vous pouvez la fermer et signer ce putain de chèque.

la-danse-country-s-invite-a-la-fetevive la danse,,,,,, hiaaaaaa

 

Vous le signez ce putain de chèque parce que finalement ça vous arrange bien, le mercredi vous avez aromathérapie avec la petite Aiko qui sent si délicieusement bon et entre vous rendre à la salle des fêtes de bouseux-land avec les permanentées en jogging et le petit studio privée et si japonisant de la jolie Aïko.... 

Vous pensez l'épreuve derrière vous, détrompez car toute association de danse rime avec gala de danse. La vous n'y couperez pas, réservez vous le samedi spectacle pour assister à ce grand évènement. Le jour dit, une fois de plus vous traversez la campagne bouseuse pour vous retrouver à la dite salle des fêtes ou les joggings verts se sont comme par miracle mutés en dindes endimanchées. Moi le dimanche les dindes je les farcis, mais encore faudrait il les plumer celles la. Donc dans une bonne odeur de saucisse, de frites, de brizz fraîcheur citron (si si, c'est le flacon Dior que vous avez acheté à un super prix sur Ebay à un vendeur Russe), vous vous préparez au plus grand moment de cette année.

ScreenShot00024

 

Assit la au milieu des autres victimes de la mondialisation des danses de mauvais goût vous attendez que démarre le spectacle navrant auquel vous vous attendez. Surprise, ce spectacle n'est pas celui que vous attendiez, non, il est bien pire en fait.

Tout commence par l'entrée en scène des danseuses. Visiblement leur Prof de danse a sévèrement abusé des psychotrope et suite à une consommation absolument éhontée de clip bas de gamme sur MTV et W9 à décidé de transformer votre enfant en prostituée bulgare. Petit haut découvrant le nombril, mini jupe rouge en skai de fauteuil, Bottes brillantes et bien sur un maquillage qui aurait fait rougir Rachida Dati qui n'est plus à cela prêt pourtant.

 

188029_123441254407004_8262462_nLes prostituées bulgares approuvent.....

La l'homme de bien atterré se trouve tétanisé par un sentiment d'éffroi, absorbé par un trou sans fond. Son enfant, une part de son patrimoine génétique, a accepté de porter une telle tenue. C'est à se moment la qu'on se retourne vers le ventre de la génitrice en se disant que la prochaine fois on opterait pour un cocon artificiel facon clone plutôt que la matrice artisanale. Autour de vous déjà les bras se lèvent, et votre coeur s'emplit d'une grande impatience. Voici que la horde de parents en colères, outrés par l'abomination qui se joue devant eux va se lever. Ça sent le massacre, la juste lapidation, l'execution sommaire. Deja vous vous emparez d'une fourchette en plastique pour être le premier à vous jeter sur la prof de danse et lui crever les yeux à cette pute.

Pedobear (7)Pedobear approuve aussi les cours de danse associatifs.

 

Mais les bras qui se lèvent ne sont pas armés de gourdins, ou de chaises. Nooooonnnn ils tiennent à bout de bras les caméra, les iphone, les galaxy S3 (si c'est le machin que les gens achètent quand ils n'ont pas assez pour se payer un Iphone). Et Voila que cette bande de plouc au lieu de sauver leurs enfants de cette perversion scéniques brandissent leurs attributs vidéastiques et se mettent à filmer à tout va. Que comptent ils faire ? Alimenter les réseau pédophiles avec leur réalisation ? Voila que la musique commence, parce qu'il y a de la musique, c'est un spectacle de danse après tout je vous rappelle. Aux premières notes du dernier tube de Miss Pouf aux grosses cuisses 2009 / 10 / 11 mes oreilles se mettent à saigner. Et le troupeau de petites prostiputes improvisées se mettent à se déhancher dans un semblant de rythme coordonnés. La mes yeux me piquent, non ce n'est pas l'émotion mais plutôt satan qui s'amuse à me frotter un oignon fraîchement pelé sur les globes oculaires. 

C'est horrible, c'est vulgaire, ce n'est pas de la danse, ce n'est même pas de leur âge. Pendant que l'immonde Rihana me casse les bonbons avec son parapluie mes propres enfants tuent en moi toute trace de ce qui aurait put un jour ressembler à un sentiment paternel. Sous l'oeil compassé des parents, complices volontaires de ce spectacle navrant, s'enchaine toute une série de pas de danses qui se veulent...... Mais qu'est ce qu'ils veulent finalement ? ca ne ressemble à rien ce truc.

un-sport-de-tout-ageBon allez les moches derriere....

Je remarque tout de même qu'ils ont effectués une mise en place des plus soignées, les plus jolies à l'avant, les inévitables boudins à l'arriere. Esperent ils ainsi convaincre un possible acheteur belge ou saoudien de prendre le lot plutôt que l'unité ? C'est qu'elles s'en donnent du mal les fans de Zahia, elles ondulent, ca fait des vagues de graisse qui me rappellent un peu le mouvement des marrés, ou du Jell-O.... Plutôt du Jell-O en fait. Et vas y que je te balance des coups de reins, et que je fasse ma lascive. A leur décharge, le terme de lascive ne leur étant pas vraiment familier on pourrait plutôt parler de flasque. Donc les flasquives esquisieuces pedodanseuses,, STOP, on se croirait dans alice au pays des merveilles, il ne manquerait plus qu'on me confonde avec ce pervers de Lewis Carroll

jell_o_mold_06Le Festival du Jell-O

Et les parents que font ils ? Ils sourient, ils approuvent alors qu'en résumé :

  • Leurs filles sont habillées comme tapins.
  • Dansent comme des baleines agonisantes.
  • Expriment la vulgarité d'une Nadine Morano sur un plateau télé.
  • Qu'ils sentent tous le graillon.

C'est la que je comprends mieux comment certains en arrivent au pire. J'ai une morbide envie de devenir mormon à ce moment la. On ne peut pourtant guère lancer de reproche aux jeunes filles (a part pour celles qui s'entetent à se vetir en taille 34 alors qu'elles devraient plutôt faire un tour dans le rayon Femmes enceintes du Kyabi. non sans déconner elles ont pas de miroir ? ou ont elles vus que les débordements graisseux de leur nombril mis à nu étaient un atout dans l'existence ?). 

Non dans la majorité des cas les seuls responsables sont les parents. Comment une personne avec un tant soit peu de bon sens et de bon gout peut il laisser son enfant tenter de se faire passer pour une pute de dix huit ans, alors qu'elle ne sont que des idiotes de douze ? De quoi vienennt ils s'étonner quand leurs lolitas se retrouvent enceinte à quatorze ans, ou pire encore dans une émission de télé réalité ? Il y a un temps pour tout, et surtout un temps pour être une enfant. Elles seront adultes assez tot, et pour longtemps et ça n'ira pas en s'améliorant. 

En repartant de ce lieu de misère culturelle pour retourner à l'abris de ma ville, j'ai bien sur utilisé mon droit d'abus parental pour retirer mes filles de ce lieu et les inscrires à la natation plutôt. Pas qu'il y ai moins de pervers dans la piscine municipale, mais au moins la bas c'est elles qui chopent la mycose et mon ulcère qui se repose. 

"Mais monsieur l'immonde, que ferez vous lorsque vos filles seront en âge de vouloir prendre leur envol ? Pourrez vous les laisser telles des oiseaux s'envoler du doux giron de votre nid ?" me fait Aiko de sa petite voix asiatique tout en se serrant contre moi dans son petit, tout petit, kimono de soie ".

"Ma petite Aiko, ne poses pas des questions qui fâchent et qui trouveront leurs réponses avec le temps et va donc chercher les huiles de massage, si tu es bien gentille je t'offrirais un scooter pour tes quatorze ans."

 

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24 août 2012

Hommage

A Vous qui avez vécu merveilleusement

chezcorpscircuits1

Muere lentamente quien no viaja, 

quien no lee, 
quien no oye música, 
quien no encuentra gracia en sí mismo. 

Muere lentamente 

quien destruye su amor propio, 
quien no se deja ayudar. 
Muere lentamente quien se transforma en esclavo del hábito 
repitiendo todos los días los mismos trayectos, 
quien no cambia de marca, 
no se atreve a cambiar el color de su vestimenta 
o bien no conversa con quien no conoce. 
Muere lentamente quien evita una pasión y su remolino de emociones, 
justamente estas que regresan el brillo 
a los ojos y restauran los corazones destrozados. 
Muere lentamente quien no gira el volante cuando esta infeliz 
con su trabajo, o su amor, 
quien no arriesga lo cierto ni lo incierto para ir detrás de un sueño 
quien no se permite, ni siquiera una vez en su vida, 
huir de los consejos sensatos… 

¡Vive hoy! 
¡Arriesga hoy! 
¡Hazlo hoy! 

¡No te dejes morir lentamente! 

¡No te impidas ser feliz!

Martha Medeiros

(Pour ceux qui ne lisent pas l'espagnol :

Il meurt lentement

celui qui ne voyage pas,

celui qui ne lit pas,

celui qui n'écoute pas de musique,

celui qui ne sait pas trouver

grâce à ses yeux.

Il meurt lentement

celui qui détruit son amour-propre,

celui qui ne se laisse jamais aider.

Il meurt lentement

celui qui devient esclave de l'habitude

refaisant tous les jours les mêmes chemins,

celui qui ne change jamais de repère,

Ne se risque jamais à changer la couleur

de ses vêtements

Ou qui ne parle jamais à un inconnu

Il meurt lentement

celui qui évite la passion

et son tourbillon d'émotions

celles qui redonnent la lumière dans les yeux

et réparent les coeurs blessés

Il meurt lentement

celui qui ne change pas de cap

lorsqu'il est malheureux

au travail ou en amour,

celui qui ne prend pas de risques

pour réaliser ses rêves,

celui qui, pas une seule fois dans sa vie,

n'a fui les conseils sensés.

Vis maintenant!

Risque-toi aujourd'hui!

Agis tout de suite!

Ne te laisse pas mourir lentement!

Ne te prive pas d'être heureux!

 

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20 août 2012

READY SHAME

Fouet

 

 

Changer de lieu.... bousculer sa tête, le ronronnement du quotidien. Un temps.

Puis comprendre. Il n'y a pas de recommencement ; uniquement la suite.

Celle qui ne s'invente pas entre les lignes échangées. Celle qui s'écrit à la pointe des jours quand tous les masques sont tombés.

Accepter.

On ne change pas de peau parce qu'on se déplace sur l'axe de la rose des vents.

La peau reste, avide des mêmes frissons, sensible aux mêmes émois, troublée par les mêmes promesses. Seulement un peu plus marquée des sillons mystérieux de l'horloge.

Et la tête bourdonne des mêmes craintes puériles, s'affole des mêmes scènes projetées, s'égare dans les mêmes tourments. Seulement un peu plus endurcies aux luttes traversées.

Changer de lieu, croire que l'on a tout largué de ce qui déroute,encombre, ravie, freine, engloutit.

Et tout retrouver, intact, entier.

Cette fille au fond de soi qui ne veut pas … et qui désire tant.

Cette gamine butée et sanglotante qui vient se griffer à Vos doigts pour quémander un absolu d'amour.

Cette créature pétrie de contradictions, de honte et de feu, qui supplie et se rétracte, qui gémit son chant de sirène et s'enfuit en courant.

Qu'il faut mater pour qu'elle se révèle. Qu'il faut attacher, retenir, contraindre pour l'obliger à se regarder en face.

Cette chose qui se croyait grandie.

Et qui Vous regarde aussi démunie qu'au premier jour pour un mot, un geste, un regard.

Je la sais au plus profond de mon être et ne peux m'en défaire.

Car c'est elle que je Vous offre, c'est elle qui a le plus besoin de Vous, c'est elle, ma soeur, mon enfant secrète, mon ennamie, qui frémit de Vous attendre.

Et par Vous, toute honte bue, elle me regarde et me sourit. Enfin !

26 avril 2012

Rythmique

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 Clac clac clac, ce ne sont pas les pas d’un quelconque joueur de claquettes, ce ne sont pas la les effusions d’un danseur de charleston. C’est la pulsation évidement nécessaire, la syncope de celui qui écope du plat de la main le surplus d’insolence d’un fessier complaisant.

Ce n’est pas une improvisation de free jazz, non c’est la musique qui fait que l’on jase, ce n’est pas le désaccord vibrant et pseudo harmonique d’un musicien contemporain. Non c’est bien plus le swing manouche qui s’applique, la gestuelle du gitan qui fait danser l’opale d’une courbe féminine.

Clac Clac Clac, triple croche rapide, improvisation sur l’instrument violoncelle qui se pâme.  Mouvement de la main, mouvement du bras, tout est dans la mesure, et tout n’est que démesure. De la musique en toute chose, et toute chose se doit d’avoir sa propre musique.

Clac Clac Clac, devenir musicien c’est jouer une partition qui s’inscrit en rouge sur le feuillet couché en travers de vos cuisses. Les plus grands improvisateurs vous le diront, il n’est pas de création qui ne soit appuyé par une solide technique. Jamais par hasard votre archet ne doit s’abattre et s’ébattre dans un staccato qui ne rimerait qu’avec un fiasco. Non il vous faut tenir cette musique, ce petit air qui nait autour de vous, ménager vos instruments.

Alors vous ferez naitre la nécessaire symphonie, à vous de savoir l’entendre.

7 septembre 2011

De l'art, la suite au message, des réponse d'ailleurs.

 

De la place ou je me trouvais, à coté de mon mari et soumis,

J' ai trouvé votre prestation magnifique…

La jolie cambrure de Sophia ma emportée,

Vers de doux désirs ,et l’envie irrésistible de jouer avec ses délicieuses formes...

L effleurer du bout de mes doigts,

Lui susurrer à son oreille,

Mon envie de la posséder,

De la pousser ainsi jusqu'au plaisir..

Mon envie de dominer est très forte..,

Elle m'emporte vers des désirs profonds...

Mon tendre soumis  face à Sophia..

Jouer avec leur deux corps,

Lécher du bout de mon fouet leurs jolies fesses tendues..

Voir leurs deux corps de soumis l'un contre l'autre,

En attente  d'un coup de fouet.

D'une caresse, d'un mot.

Voir leurs corps frémir sous les coups et les mots.

Amener ainsi mon Amour et Soumis à ressentir,

Le plaisir de Sophia jusqu'à son envolée..

Qui va le submerger en même temps.

Partager ces moment forts,

Que sont les jeux de Domination et Soumission,

Qui les emporteront loin vers leurs plaisirs,

Pour mon plaisir...

 

Sandra

 

Et la réponse du complice qui complète si bien nos folies

"Témoignage d'un à corps parfait.."

"J 'ai vu"
Le choc des maux..
Le poids des mots..
La pesanteur d'un prénom.. et tes yeux trahir ton abandon..
La honte de ton envie au temps du jouir.. et l'impudeur de ton désir..
Ton âme compter des doigts, ses doigts.. de la honte jusqu’à l 'embrasement..
La braise rougir tes fesses, pour faire couler ta lave..
J'ai vu , j'ai lu,  Sophia et l 'écho  de ton désir sonnera fort..




1 septembre 2011

Ce qui compte...

 

Ce qui compte, c'est le beau.

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Il faut chercher le beau, tout être conscient et sensible se devrait de chercher le beau comme un pilier de sagesse.

dejeuner-sur-lherbe-L-2Comprenez moi bien, ne vous méprenez pas, le beau n'est pas physique, le beau n'est pas un corps proportionné dans le canon d'une esthétique chancelante et variante. Ce qui est beau et le beau sont des choses bien différentes. Rubens n'avait pas la notion de beau que nous avons aujourd'hui. Monet ne voyait pas une femme comme les publicitaires la voient aujourd'hui.

Non le beau est une attitude, une démarche, une recherche. Le beau c'est la beauté d'un moment, la grâce d'un instant. Le beau c'est le soin que l'on prend à faire les choses pour les rendre belles. Le beau est aussi bien le fruit d'un effort que le fait d'une grâce partagée.

Le beau peut vous apparaitre au coin d'une rue sous la forme d'un rayon de soleil éclairant une façade, sous l'attitude désinvoltetumblr_laorwhHjs51qe1muyo1_400 d'un badaud qui vaque à ces occupations, dans un baiser volés. Le beau est aussi bien fortuit que construit, il se fait d'images, il se fait d'impressions, il touche au cœur et remplit la tête d'émotions.

Chercher le bearodin80u est une action d’alchimiste qui vise à transcender le quotidien pour l’éclairer, pour le transformer au grés d’une palette. Il y à mille façon de regarder une personne, comme il y a mille façons de dresser une table, de plier une serviette, mille façons de regarder l’autre, mille façons de serrer une main.

La recherche du beau permet les beaux moments, le partage, l’émotion, regarder, prendre le temps de voir, trouver ce qui vibre comme une caisse de résonnance en nous. 

Si  nous cherchions le beau dans le monde qui nous entoure nous verrions alors surement qu’il est partout et nous entoure. Alors peut être le monde serait moins cruel, moins axé sur ce qui nous sépare, nous met en colère, nous dresse les uns contre les autres.

Si seulement, si seulement, ce serait une bien belle journée que ce jour la.

 

 

31 août 2011

Suite du message d'hier : De l'Art ?... non Mademoiselle du cochon !

 

Tu lis

Tu souris

Tu soupires « Ah c'est tout toi ! »,plus amusé que colère. Tendre ton regard.

Je sais ce que tu ne dis pas, je l'entends pétiller dans tes yeux avant les mots

 

Je te demande un texte sur cette expérience, ce charmant spectacle que tu nous a donné, un TEMOIGNAGE.

Et te voilà encore en train de tergiverser, de t'habiller de métaphores, d'oser l'exercice de style.

Allons ma jolie, est-ce bien cela que j'avais exigé de toi ?

Que tu tisses tellement d'O-ripeaux autour de ta nudité que la scène en soit déguisée ?

Que diable, un peu d'O-dace !

Je veux voir ton impudeur.

Je te veux pornographe.

Écris, en rougissant s'il le faut mais cesse immédiatement ces litté-ratures, tes imprécisions peau-érotiques.

Je veux les actes et les paroles, je veux de l'action digne d'un film en crypté... Et tu as intérêt d'être claire !

 

Pensum/torture.

Je ne sais pas faire … je déteste ça...

la crudité m'est cruelle ; une offense à ma liturgie érotique.

Je fais ce que je peux..

femmechaise

Chez P.

Tu as amené ta valise de médecin de campagne.

Ce dîner ne sera pas anodin. C'était prévu d'avance.

Et si l'apéritif se déroule dans un climat de bavardage amical, je sais dès l'entrée que je serai ce soir le centre de toute votre attention.

Une cravache en décoration, sur la table dressée dont tu te saisis... et ta main sur mon épaule qui me ploie doucement.

Ma sage robe noire que tu remontes sur mes fesses...

Les premiers coups crépitent comme un feu d'artifice dans ma tête, dans ma chair ; l'annonce du voyage, avec embarquement immédiat, mes doigts cramponnés au bastingage de la table du repas.

Je tangue, souffle précipité, houle dans le creux des reins, déferlantes qui frappent mon ventre.

Et tu cesses brusquement, signifiant qu'il est temps de passer à table, que par ma faute le plat va refroidir alors que je suis si proche déjà d'un plaisir qui me suffoque.

Je te suis, étourdie, gênée de ma vulnérabilité, de ma réceptivité si grande ce soir, ...rare.

Remontrance. Ma place n'est pas là, près de toi, mais de l'autre côté. Cernée par vos regards. Seule face à vous.

Terrible.

Seule soumise, seule femme.

Pas flattée, gênée, déstabilisée. Tu le sais, tu me couves d'un sourire, regard allumé des grands soirs.

Il faut me croire si je dis ne pas me souvenir quand est tombée ma robe.

Mais je me rappelle très bien tes mains dégrafant mon bustier...

Mais qui a ôté mon string ? Fus-ce moi sous ton ordre ou toi ?

Avant ou après m'avoir faite me lever et m'appuyer sur le pan de mur de briques pour me passer aux martinets ?

Ou alors était-ce à la badine ?

Je ne mens pas. Je ne sais plus.

J'ai lâché prise...

Quand ?

Après quels mots ? Quels délicieux embrasements ? Quel verre de vin ?

Je sais avoir trop parlé, tant dit, trop gémi...

Je m'échappais belle, tout m'échappait, s'écoulait de moi

Et je ne voulais rien retenir. Ni honte , ni émoi... surtout l'émoi.

Et moi... je fondais.

Reins arqués, fesses offertes si tu veux, quand tu veux....

Il n'y a qu'un temps, celui où je suis à toi et qui se superpose et s'entremêle.

Il  faut me croire... j'ai oublié la chronologie des mains et des bouches, des sexes que l'on touche.

Mais je me souviens, cambrée entre tes mains, ventre offert, prise, les fesses brulantes, je me souviens du martèlement sourd, j'entends ma voix, je revois le ressac qui me secoue, martyrise mon ventre, me pousse contre toi, corps à cris.

Et je ne peux oublier, après que tu m'aies emportée sous le feu des martinets, du fouet, du diable sait quel cuir qui me mordait divinement, je ne peux oublier la table qui nous sépare, ma nudité ravie et timorée sur la chaise, enchâssée par vos regards.

Et ta voix

Qui invoque

qui fait surgir une présence, une absente, un prénom de femme comme une promesse : Sandra

Ta voix tendue vers moi - qui cherche encore mon souffle, mes esprits, toute pâmée et électrique – et qui vient me cueillir par surprise, s'infiltrer dans mes désirs.

Vous évoquez un duo de martinets sur mes rotondités.

Frémissement. Je sais par corps combien c'est enivrant, comment je pars sans retenue sous cette rythmique démente, et je sais que mon trouble ne t'échappe pas.

Tu n'avais pas besoin de cet encouragement pour continuer ta partition

Mais sans doute est-ce une plus grande jouissance pour toi que de me voir m'affoler, respirer plus vite, le ventre fourmillant tellement que j'en danse sur ma chaise quand tu me susurres l'image de ces mains – pas des mains inconnues non les siennes, ces mains là précisément – qui découvrent mon corps, glissent sur ma peau, descendent vers mon ventre.

Et je tangue sur ma chaise, honteuse oui, mais incapable de me défaire du désir que tu plantes et nourris de plus belle, racontant son doigts qui lisse mes lèvres, m'ouvre, me caresse, rejoint par un deuxième doigt, puis un troisième alors que les coups de martinet continuent à pleuvoir sur mes fesses.

Avant même que tu ne parles du quatrième doigt, j'avais oublié ma honte, la chaise, vos yeux, j'étais dans notre cinémascope fantasmagorique en actrice principale, plantée sur cette main de femme, le cul rutilant, submergée de plaisir.

Et tu m'as achevée, d'une banderille précise, fichée en plein centre de mes désirs, soufflant que sa main s'enfonçait en moi et que mon ventre se refermait sur son poignet. Plus rien n'existait alors que cette sensation.

J'ai joui. Sous vos yeux, dont je n'avais plus conscience et que je retrouve avec effarement. J'ai joui de perdre pied dans ta voix. J'ai joui du bonheur de l'abandon.

Après....

D'autres jeux encore

D'autres partages

Des remerciements sincères

Mais tout cela peut demeurer sous silence puisque c'était ce moment là que tu voulais que je raconte

Et je ne pouvais le faire autrement...

Qu'en m'y reprenant à deux fois...

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